Vos questions fréquentes

Le médecin généraliste est le premier point de contact pour les problèmes de santé au sens le plus large. Il lui appartient de tenir un aperçu de l’état de santé global de ses patients, il est le coordinateur de tous les soins qu’ils nécessitent. 

La médecine générale, reconnue comme spécialité médicale depuis 2009, assure la prise en charge globale et suivie d’un patient. Le médecin généraliste s’assure de la coordination de vos soins reçus à Bruxelles en vous mettant en relation avec un ou plusieurs médecins spécialistes si besoin. 

La prise en charge d’un patient par un médecin généraliste se fait indépendamment de son genre, âge, et maladie.

La récurrence des rendez-vous médicaux du médecin généraliste avec ses patients lui permet d’adapter parfaitement son approche physique, psychologique, sociale, et culturelle à chaque individu. Cela explique pourquoi l’on parle de la médecine générale comme d’une médecine de famille.

La médecine générale est une spécialité scientifique orientée vers les soins primaires, et aux caractéristiques qui lui sont propres :

  1. Premier contact

La médecine générale est le premier contact d’un patient avec le système de soins, et prend en compte toute sorte de pathologie

2. Coordination des soins

La médecine généraliste est le passage obligatoire dans la prise en charge d’une maladie. C’est le médecin généraliste qui s’assure de la coordination de soins de son patient et de sa mise en relation avec des spécialistes

3. Approche centrée sur le patient

L’approche de la médecine générale est centrée sur la personne, ses antécédents familiaux, et l’environnement dans lequel elle évolue.

4. Relation médecin durable avec son patient

Contrairement aux médecines plus spécialisées, la médecine générale est basée sur une relation médecin-patient pérenne, qui permet au médecin d’offrir à son patient le suivi le plus adapté possible.

5. Soins continus et ponctuels

Le médecin généraliste assure un suivi régulier de ses patients, mais soigne également des maladies ponctuelles.

6. Intervention à n’importe quel stade de la maladie

L’expertise du médecin généraliste peut être requise à n’importe quel stade d’une maladie.

7. Différents domaines d’action

La médecine générale intervient tout aussi bien dans le cadre de problèmes de santé à la dimension physique, psychologique, sociale, culturelle, et existentielle.

Vos visites chez le médecin généraliste doivent être régulières. Elles doivent être rythmées par une visite annuelle vous permettant de surveiller votre état de santé, quand bien même aucun symptôme n’aurait été remarqué. En outre, consultez votre médecin généraliste en cas de maladie, quand bien même vos symptômes vous semblent bénins. Cela vous permettra de traiter votre potentielle pathologie à la racine, et de vous prévenir contre d’éventuelles complications.

Le médecin généraliste est un professionnel de la santé qui s’engage à assurer un suivi régulier de votre état de santé. Le premier rendez-vous est donc essentiel dans votre décision de faire du médecin généraliste rencontré, votre médecin traitant. De nombreux critères entrent en compte dans cette décision : Êtes vous à l’aide avec ce médecin ? Exerce-t-il dans un lieu proche de chez vous ? Son approche des soins et de l’examen physique vous convient-elle ?

Une consultation avec un médecin généraliste se déroule en plusieurs étapes :

1- L’entretien

La première étape est de nature verbale. Elle consiste en un dialogue entre le médecin et son patient concernant les motifs de consultation, les possibles symptômes constatés, les antécédents médicaux et familiaux, etc. Durant tout l’entretien, le médecin généraliste va rester à l’écoute de son patient afin de se faire une première idée de la pathologie ou des besoins de son patient.

2- L’examen physique

L’examen physique vient compléter la première étape, et permet au médecin de confirmer ou réfuter son premier diagnostic. Cet examen se divise en plusieurs étapes : l’inspection (température, pression artérielle, pouls, état des tympans et de la gorge, etc.) ; la palpation (abdominale, gynécologique, rhumatologique, et des ganglions) ; l’auscultation (du cœur, des poumons, de l’abdomen, des vaisseaux sanguins dans certains cas) ; la percussion (test des réflexes, de la percussion abdominale et pulmonaire.

3- La conclusion

Une fois l’entretien et l’examen physique terminés, le médecin est à même de rendre son diagnostic, qu’il délivre oralement à son patient afin de lui donner toutes les explications nécessaires à sa bonne compréhension. Puis, si besoin, le patient se verra prescrire un traitement, qui peut tout aussi bien être médicamenteux que non médicamenteux.

Le tarif d’une consultation varie si le médecin est conventionné ou non. 

Veuillez-vous renseigner auprès de nos praticiens.

Vous pouvez trouver l’information sur le profil de chacun.

A chaque visite ou consultation chez un médecin, vous recevez une attestation de soins sur laquelle est mentionnée la prestation qui a été effectuée.

Vous la remettez ensuite à votre mutualité pour remboursement.

Si vous êtes VIPO, vous payez uniquement le tiers payant.

Les prestataires médicaux et paramédicaux conventionnés s’engagent à respecter les tarifs légaux prévus dans ces accords. Cela veut dire que le montant à votre charge est limité au ticket modérateur (sauf exigences particulières).

Les prestataires médicaux et paramédicaux non conventionnés n’adhèrent pas aux accords. Ils sont libres de pratiquer les prix qu’ils souhaitent.

Les prestataires médicaux et paramédicaux partiellement conventionnés marquent leur accord pour respecter les tarifs légaux, mais pendant une partie seulement de leur temps de travail.

Selon l’INAMI, si votre dispensateur de soins applique le tiers payant, vous ne lui payez que le montant qui est à votre charge (le ticket modérateur), et éventuellement un supplément si le dispensateur n’est pas conventionné.

Vous n’avancez pas le montant correspondant à l’intervention de l’assurance soins de santé. Votre mutualité versera directement ce montant à votre dispensateur.

Dans ce cas, vous ne devez donc pas envoyer d’attestations de soins à votre mutualité.

Pédopsychiatrie

La pédopsychiatrie est une spécialité médicale consacrée aux enfants, de la naissance jusqu’à l’entrée dans la vie adulte. Elle recouvre l’étude, le diagnostic, le traitement et la prévention des troubles psychiques qui affectent les jeunes et entretient des liens étroits avec la médecine, la psychologie du développement, la biologie, la sociologie, et les sciences de l’éducation.Les praticiens de cette discipline sont appelés pédopsychiatres.

Elle s’adresse aux enfants âgés de 0 à 18 ans ainsi qu’à leur famille.
Il est nécessaire de consulter dès lors que la souffrance chez un enfant perdure. Si, en tant que parent, vous vous retrouvez en difficulté face à un enfant, qui a des difficultés d’apprentissage, d’attention, qui a des attitudes d’impulsivité, qui ne dort pas bien, ne mange pas bien, est continuellement triste, ou lorsque vous vous sentez démuni face à lui, alors il est important de prendre rendez-vous avec un pédopsychiatre.

Il est aussi intéressant, et important, de consulter un pédopsychiatre dans le cadre de la guidance parentale. Ce type de consultation, prestée par les coachs en guidance parentale, a pour objectif d’aider les parents à poser un cadre éducatif à leurs enfants. Cela passe par leur apprendre à dire non à un enfant intolérant à la frustration, et à aider l’enfant à gérer cette frustration.

Le rôle d’un pédopsychiatre est de soigner les types de troubles mentaux et psychiatriques chez les jeunes. Ces problèmes mentaux se divisent en quatre familles:

Les troubles anxieux

Ces troubles englobent les dépressions, les syndromes dépressifs réactionnels, les phobies (scolaires par exemple), les Troubles Obsessionnels Compulsifs (TOC), ou des Troubles Involontaire Convulsif (TIC)

Les addictions

Les addictions les plus connues sont celles à la drogue et à l’alcool. Mais il y a également des addictions aux jeux vidéos, smartphones, etc.

Les troubles du comportement alimentaire

Les troubles de ce type sont nombreux. On y compte l’anorexie, la boulimie, l’orthorexie (l’obsession de manger sain à tout prix), et la bigorexie (le besoin compulsif d’activité physique).

Les Troubles du Déficit de l’Attention avec ou sans Hyperactivité (TDA/H)

Le TDAH est un trouble neurodéveloppemental fréquent (environ 5-8% des enfants et 4 % des adultes) qui se caractérise par une difficulté persistante à moduler l’attention qui se traduit par des erreurs d’inattention, une difficulté à maintenir l’attention de façon soutenue, à résister aux stimuli distracteurs, à organiser, débuter et terminer une tâche, des oublis et une tendance à égarer ou perdre  ses objets). La bougeotte associée au TDAH implique une difficulté à contrôler les mouvements (hyperactivité motrice), les comportements (impulsivité) et parfois aussi les émotions (hyper-réactivité émotionnelle). Les impacts du TDAH  peuvent se retrouver dans plusieurs sphères de vie, autant la vie quotidienne, familiale, sociale, académique que professionnelle.

Le DSM-5 regroupe les symptômes du TDAH en 3 types de présentation clinique (Inattention et Impulsivité-Hyperactivité et combinée). Les symptômes sont présents depuis l’enfance et persistent souvent  à l’âge adulte. Le diagnostic peut être complexe car certaines problématiques médicales, neurodéveloppementales et psychosociales peuvent mimer les symptômes du TDAH mais aussi y être associées. Par exemple, les personnes atteintes de TDAH ont souvent plus de problèmes d’apprentissage et peuvent aussi souffrir d’autres problématiques psychiatriques comme, un trouble d’opposition avec provocation, un trouble anxieux ou un trouble de l’humeur. Le TDAH augmente le risque de présenter un trouble du sommeil, d’obésité, de blessures accidentelles en général, dont les traumatismes cranio-cérébraux, le risque d’accidents de la route comme conducteur mais aussi comme piéton ainsi que le risque de tabagisme, d’abus de substances, de grossesses non planifiées et d’ITSSS (Infections transmissibles sexuellement et par le sang).

Lors d’une première consultation, l’enfant se présente accompagné de ses parents ; ils vont être reçus ensemble par le pédopsychiatre qui va les interroger sur la raison de leur venue. Le plus souvent, l’enfant laisse le soin aux adultes d’expliquer les difficultés actuelles, puis le médecin lance la conversation avec des questions plus précises sur les symptômes et leur chronologie, mais aussi des questions plus générales, notamment sur l’histoire de chacun.

L’objectif de ce premier temps est de faire connaissance avec l’enfant et sa famille, et de se représenter le fonctionnement familial ainsi que l’ampleur des troubles de l’enfant. Puis, lorsque l’enfant le supporte, le pédopsychiatre propose aux parents de sortir et de patienter dans la salle d’attente pour pouvoir discuter dans le cadre rassurant du secret médical, et ainsi tenter de mieux comprendre les difficultés et le fonctionnement mental global du jeune patient. Selon l’âge et la problématique, le thérapeute va utiliser différentes techniques pour entrer en contact avec l’enfant et évaluer les mécanismes et l’intensité de ses difficultés.

Il n’est pas rare que le pédopsychiatre, durant ce temps, puisse glisser des interprétations douces et prudentes à l’enfant, pour l’apaiser et évaluer ses capacités d’écoute et d’élaboration. Enfin, les parents pourront regagner le bureau, pour un troisième et dernier temps d’explications et de prise de décision pour d’éventuels soins. Dans la mesure du possible, le pédopsychiatre expliquera à toute la famille ce qu’il a compris des difficultés de l’enfant, et ce qu’il leur recommande pour aider celui-ci à les surmonter. Chaque enfant grandit et évolue dans un cadre familial et social singulier. Et il est important de comprendre que ses symptômes sont la somme des évènements particuliers que vit (ou a vécus) l’enfant, de son fonctionnement propre (sa personnalité pour simplifier), et des interactions familiales et sociales.

Ainsi, toute prise en charge ou soins du jeune patient devra découler d’une réflexion poussée de tous les membres de la famille sur chacun de ces éléments. Les entretiens individuels et familiaux sont donc indispensables à une aide globale et de qualité de l’enfant. Au terme de ce processus, qui peut s’étendre sur plusieurs consultations, le pédopsychiatre pourra proposer différents types de soins : psychothérapie individuelle, psychothérapie familiale, guidance parentale, psychomotricité, orthophonie… Rassurez-vous, il est très fréquent que quelques consultations suffisent à soulager l’enfant de ses difficultés et à rééquilibrer les interactions familiales !

Psychiatrie

La pédopsychiatrie est une spécialité médicale consacrée aux enfants, de la naissance jusqu’à l’entrée dans la vie adulte. Elle recouvre l’étude, le diagnostic, le traitement et la prévention des troubles psychiques qui affectent les jeunes et entretient des liens étroits avec la médecine, la psychologie du développement, la biologie, la sociologie, et les sciences de l’éducation.Les praticiens de cette discipline sont appelés pédopsychiatres.

Les psychiatres sont des médecins spécialistes comme le sont les chirurgiens, par exemple. Ils reçoivent une formation de médecine générale à laquelle vient s’ajouter une autre d’environ 4 ans. Au cours de la deuxième formation, le médecin qui souhaite se spécialiser en psychiatrie va étudier exclusivement les maladies mentales.

Pour devenir psychiatre, l’étudiant doit valider 6 années d’études en médecine générale. La période durant laquelle il se spécialise pour devenir psychiatre s’appelle « l’internat ». En parallèle avec ses études théoriques, le futur psychiatre intervient dans un Centre Médico-Psychiatrique. Immergé dans le milieu hospitalier, il apprend petit à petit à élaborer des solutions pour les patients et les différentes pathologies qu’il aura à rencontrer.

Durant tout son internat, il sera sous la tutelle d’un médecin plus expérimenté que lui. À la fin de la période de 4 ans, l’étudiant a une maîtrise solide de la psychiatrie. Il connaît les différentes pathologies, le moyen d’établir un diagnostic ainsi que les solutions thérapeutiques.

La formation du psychiatre est à la fois théorique et clinique. La majorité des psychiatres travaille en coordination avec des équipes multidisciplinaires dans des hôpitaux. Ils côtoient psychologues, infirmiers, des travailleurs sociaux, etc.

Le psychiatre est inscrit à l’Ordre des médecins ; par conséquent, il est tenu de respecter les dispositions du Code de déontologie médicale.

Le spécialiste en psychiatrie est formé pour apporter des solutions aux troubles psychiatriques. Ce sont des pathologies qui effectuent la pensée, l’humeur, mais aussi la mémoire. Au nombre de celles qui sont prises en charge par le spécialiste, on distingue :

L’anorexie, l’anxiété, la bipolarité, les troubles borderline, la dépression, les troubles du sommeil, les troubles de l’attention, etc….

Le psychiatre est également en mesure de soigner des troubles beaucoup moins graves tels que ceux de l’alimentation, du sommeil, etc. Certains psychiatres font uniquement de la pédopsychiatrie (psychiatrie des enfants), tandis que d’autres se spécialisent dans la psychiatrie pour personnes âgées.

La première séance de consultation avec un psychiatre débute presque toujours par une prise de contact. Dans un premier temps, le spécialiste soumet son interlocuteur à un questionnaire sur les raisons de sa consultation. Il s’intéresse ensuite aux symptômes, leur degré d’importance ainsi que leur impact sur le quotidien du patient.

L’objectif derrière cette démarche est d’établir un premier diagnostic afin d’apporter une solution idoine au patient. S’il le juge utile, le psychiatre peut soumettre celui-ci à plusieurs examens (physique, mental), à des analyses ou à de l’imagerie médicale. Tout cela concourt à établir un diagnostic précis. Ce n’est qu’après tout ceci que le spécialiste décide de la marche à suivre pour soigner son patient.

Une fois le diagnostic établi, le traitement va dépendre de la pathologie du patient. Le psychiatre peut recommander une psychothérapie sur plusieurs séances ou des procédés de neurostimulation. En sa qualité de médecin, le psychiatre est également autorisé à prescrire des médicaments aux personnes qui viennent le consulter. Dans certains cas, il recommande des anxiolytiques, des antidépresseurs, etc.

Si le psychiatre se rend compte que son patient constitue un potentiel danger pour lui-même et pour ses proches, il peut décréter son hospitalisation.

Il n’y a aucune honte à se retrouver en face d’un psychiatre pour une consultation. Au contraire, il s’agit d’un moyen sûr pour éviter que les symptômes ne dégénèrent. Une fois que le trouble menace l’équilibre social, la vie et le travail, il est important de prendre rendez-vous au plus vite. La consultation peut également découler de la recommandation d’un médecin généraliste.

Médecine esthétique

Il s’agit d’un ensemble de techniques de soins médicaux spécifiques, sans chirurgie, destinés à améliorer les problèmes disgracieux, liés ou pas aux effets du vieillissement, du corps ou du visage. La médecine esthétique cherche donc à améliorer l’apparence. Elle emploie volontiers les techniques d’injection, d’exfoliation, et divers agents physiques comme la lumière, les lasers, les rayonnements électromagnétiques, le froid intense, les ultrasons, etc…

 

Esthétique du visage et du cou

Les principales indications des actes à visée esthétique pour le visage, le cou et le décolleté sont :
– les traitements des rides (avec du Botox par exemple) et sillons
– l’amélioration des et cicatrices diverses et imperfections de la peau, des rougeurs et taches brunes,
– la lutte contre le relâchement cutané,
– le remodelage des pommettes, de la bouche (très efficace avec des injections d’acide hyaluronique), du nez, de l’ovale du visage, etc…

Médecine esthétique du corps

Ses indications courantes pour le corps sont :
le traitement de la cellulite et de la peau d’orange,
– le remodelage de la silhouette,
– le traitement des pilosités,
– les greffes de cheveux,
– le rajeunissement des mains,
– le traitement des varicosités des jambes,
– la suppression des tatouages (détatouage), etc…

Parmi les traitements les plus effectués, on retrouve les injections anti-rides, les peelings, les traitements au laser, les traitements anticellulite, les rhinoplasties non chirurgicales, le remodelage corporel (avec la liposuccion sans bistouri) ou encore le raffermissement cutané…

Les objectifs principaux de la médecine esthétique sont donc : ralentir le processus de vieillissement de la peau (en apportant tonicité, nutrition, hydratation) et/ou corriger certains défauts corporels qui nous complexent.

En vieillissant, la peau devient plus fragile et plus fine. Elle perd en élasticité et fermeté puisque nous ne produisons plus autant de collagène, d’élastine ou d’acide hyaluronique (entre autres). Résultat ? Perte de luminosité du teint, apparition des rides et relâchement cutané…

En médecine esthétique, il n’y a pas d’âge pour corriger des défauts ou améliorer certaines zones du corps ou du visage : atténuer des rondeurs, traiter la cellulite, épiler, remodeler des lèvres ou un nez…

Pour les signes du vieillissement cutané, ce n’est pas l’âge qui compte mais plutôt la qualité de votre peau. Votre peau est le reflet de votre rythme de vie, de nombreux facteurs extérieurs (utilisation de crèmes ou non, pollution, tabac, alcool, exposition au soleil, etc…) et de votre génétique. L’idéal est de réaliser un bilan complet auprès d’un médecin esthétique qui saura vous guider.

Notre conseil : en règle générale, il vaut mieux prévenir que guérir ! Une correction précoce des signes de l’âge permet de ralentir le processus de vieillissement de la peau. En revanche, il est conseillé d’attendre au moins la majorité sauf cas particuliers.

La médecine esthétique est pour les hommes et les femmes qui souhaitent gommer leurs complexes avec une méthode douce et souvent progressive.

Si les actes sont pratiqués avec art et modération, les résultats sont naturels, rapides et la douleur minime (en fonction des actes à réaliser et des traitements appliqués). Il n’y a pas d’anesthésie générale donc pas d’hospitalisation (puisque les soins sont effectués au sein du cabinet du médecin esthétique), et pas d’éviction sociale à prévoir : la vie sociale et professionnelle peut être reprise immédiatement.

Les actes sont dits peu ou non invasifs car ils ne concernent que le derme (la peau et sa sous-couche de graisse).

Enfin, si le résultat est durable, il n’est en général pas définitif : les actes sont réversibles. C’est une sécurité.

Aussi, c’est tout le corps qui est concerné : à chaque partie du corps son traitement !

Le rôle du médecin esthétique est de prodiguer conseils, traitements et soins pour améliorer l’aspect esthétique des patients et parfois pour des aspects médicaux. Le chirurgien esthétique effectue des interventions chirurgicales : il opère. Les grandes incisions lui sont réservées. Il peut intervenir sur les os, les muscles, etc…

Ainsi, bien que l’objectif des deux praticiens soit le même (embellir, gommer des complexes ou améliorer la santé du patient), les moyens utilisés, eux, sont différents. D’autre part, la chirurgie s’adresse à des problèmes esthétiques plus importants ou plus avancés.

En médecine esthétique, les méthodes médicales utilisées sont légères et par conséquent les risques très limités.

Bien qu’il n’y ait pas de spécialité ni de titre officiel reconnus par le Conseil de l’Ordre des Médecins pour la médecine esthétique, il faut avoir effectué au moins huit ans d’études en médecine et avoir obtenu son doctorat.

Les médecins généralistes, les dermatologues ou encore les chirurgiens esthétiques pratiquent souvent des actes dits « de médecine esthétique ».

Soins infirmiers

Les soins infirmiers englobent les soins autonomes et collaboratifs prodigués aux individus de tous âges, aux familles, aux groupes et aux communautés, malades ou en bonne santé, indépendamment du contexte.

Les soins infirmiers comprennent la promotion de la santé, la prévention des maladies, les soins aux personnes malades, handicapées ou en fin de vie. La défense des intérêts, la promotion d’un environnement favorable, la recherche, la participation à la mise au point des politiques de la santé, à la gestion des patients et des systèmes ainsi que la formation font également partie des rôles déterminants des soins infirmiers.

L’infirmière est une personne qui a suivi un programme d’enseignement infirmier, qui possède les qualifications requises et qui est habilitée dans son pays à exercer la fonction d’infirmière. La formation de base en soins infirmiers consiste en un programme d’études officiellement sanctionné et offrant une solide formation dans les sciences de la vie, les sciences comportementales et les sciences infirmières nécessaires à la pratique générale des soins infirmiers et à l’exercice d’un rôle de direction et d’animation ; l’enseignement doit également préparer l’infirmière à une éventuelle formation supérieure et spécialisée.

L’infirmière est formée pour et est autorisée à :

  • (1) Exercer dans le domaine général de la pratique infirmière, y compris la promotion de la santé, la prévention de la maladie et la prise en charge des personnes souffrant de maladies mentales et physiques et handicapées, dans tous les contextes de soins de santé et communautaires
  • (2) Dispenser un enseignement relatif aux soins de santé
  • (3) Participer aux travaux de l’équipe soignante en tant que membre à part entière
  • (4) Superviser et former des auxiliaires de santé et de soins infirmiers
  • (5) Participer à la recherche

Lorsque vous vous rendez au centre pour un prélèvement, veuillez-vous munir des documents indispensables suivants :

  • La demande d’analyses rédigée par votre médecin,
  • Votre carte d’identité ou passeport
  • Une vignette de mutuelle à votre nom.

Pour un test PCR COVID-19 réalisé dans le cadre d’un voyage ou d’un évènement culturel, une prescription médicale n’est pas requise. Veuillez compléter les documents reçus lors de votre confirmation de rendez-vous et y inscrire votre éventuel code CTPC avant le prélèvement.

Ces documents doivent être fournis lors de votre arrivée au centre de prélèvements. Il est important de vérifier, lors de chaque prélèvement, l’exactitude des données vous concernant.

Les résultats des prises de sang varient selon les prélèvements demandés par votre médecin traitant. Généralement, ils sont envoyés dans les 48h à 30h à votre médecin traitant. Si vous ne les avez pas reçu, veuillez contacter le laboratoire SYNLAB : 

SYNLAB Heppignies (siège administratif)

Avenue Alexander Fleming, 1 – 6220 Heppignies

SYNLAB Laboratoire Collard

Boulevard de Froidmont, 14 – 4020 Liège

Lorsque vous vous rendez au centre pour un prélèvement, veuillez-vous munir des documents indispensables suivants :

  • La demande d’analyses rédigée par votre médecin,
  • Votre carte d’identité ou passeport
  • Une vignette de mutuelle à votre nom.

Pour un test PCR COVID-19 réalisé dans le cadre d’un voyage ou d’un évènement culturel, une prescription médicale n’est pas requise. Veuillez compléter les documents reçus lors de votre confirmation de rendez-vous et y inscrire votre éventuel code CTPC avant le prélèvement.

Ces documents doivent être fournis lors de votre arrivée au centre de prélèvements. Il est important de vérifier, lors de chaque prélèvement, l’exactitude des données vous concernant.

Logopédie

La logopédie, également connue sous le nom d’orthophonie, est une discipline paramédicale qui s’occupe de la prévention, du diagnostic et du traitement des troubles de la communication et du langage.
Les logopèdes travaillent avec des personnes de tous âges qui éprouvent des difficultés avec la parole, le langage, la voix, la déglutition, la lecture, l’écriture ou la compréhension.
Ils peuvent également travailler avec des personnes qui ont des troubles du développement, des maladies neurologiques, des accidents vasculaires cérébraux, des problèmes d’audition, des troubles du spectre autistique, des troubles de l’apprentissage, etc.
Leur objectif est d’aider les patients à améliorer leur communication, à retrouver une autonomie dans leur vie quotidienne et à favoriser leur intégration sociale.

Le logopède intervient dans le traitement des pathologies suivantes :

  • Troubles de l’articulation et du langage oral (déformation des sons, développement du langage)
  • Troubles de la voix (lésion des cordes vocales, extinction de voix)
  • Troubles de la fluence (bégaiement, bredouillement)
  • Troubles du langage écrit (dyslexie, dysorthographie, dysgraphie)
  • Troubles de la cognition numérique 
  • Troubles de la parole et du langage d’origine neurologique (aphasie) ou développementale (dysphasie)

La rééducation logopédique s’adapte au patient et à sa pathologie, évoluant au fil du temps en fonction des progrès du patient. Les objectifs peuvent être multiples !

Les documents nécessaires à une demande de remboursement pour des séances logopédiques :

  1. la prescription du médecin spécialisé pour le bilan logopédique.
  2. la demande d’intervention donnée par le logopède. Vous devez dater et signer cette annexe et l’accompagner d’une vignette.
  3. le rapport du bilan logopédique réalisé par le logopède (réalisé après la prescription pour le bilan logopédique du médecin)
  4. la prescription du médecin spécialiste pour le traitement logopédique (établie par un ORL, un pédiatre ou un médecin interne)
  5. les résultats d’éventuels tests supplémentaires (test QI, test de l’audition, etc.) que le logopède ou un autre spécialiste a fait passer.

Le dossier doit impérativement être envoyé dans les 60 jours à daté de la prescription du médecin spécialiste pour le bilan logopédique. 

Pour un bilan en langage oral, un retard dans les performances doit être démontré par des tests de langage donnant deux scores inférieurs ou égaux à moins deux écart-types.

Pour un bilan en langage écrit ou en mathématique, un retard dans les performances doit être démontré par des tests de lecture et/ou d’orthographe et/ou de calcul donnant deux scores inférieurs ou égaux au percentile 16 ou inférieurs ou égaux à moins un écart-type. Les tests doivent correspondre au niveau de l’année scolaire fréquentée par le bénéficiaire et figurer dans une liste limitative approuvée par la Commission de conventions. 

Si les conditions ne sont pas respectées, le bilan ainsi que les séances ne seront pas remboursés. 

Un bilan qui n’est pas suivi dans les 60 jours d’un traitement pris en charge par l’assurance ne peut pas faire l’objet d’une intervention de l’assurance. 

Si les séances de traitement sont effectuées après le délai de 60 jours, le remboursement de ces séances est possible.

Selon le site de l’INAMI, la Commission de conventions a décidé qu’un délai maximal d’un an est accepté (28.02.2019).

Tous les logopèdes des centres Mimosa sont conventionnés par l’INAMI. Les honoraires des logopèdes conventionnés sont remboursés à 75% par les mutuelles (90% pour les patients BIM).

Oui. La demande doit être faite au moyen d’une prescription médicale (établie par un ORL, un pédiatre ou un médecin interne), d’une demande et d’un bilan logopédique établis par un logopède.

Selon la mutualité socialiste, la mutuelle accorde une intervention unique de 5 euros pour un traitement de logopédie pour lequel le bénéficiaire a épuisé ses droits à des soins médicaux prévus dans l’assurance obligatoire ou si le bénéficiaire ne répond pas à l’une des situations prévues pour bénéficier de la prise en charge par l’assurance susmentionnée. Le service intervient uniquement à condition que le bénéficiaire possède un dossier médical global (DMG) ou s’il est inscrit dans une maison médicale.

Le résultat d’un test de QI reste valable. Si on veut à nouveau le déterminer, un minimum de deux ans entre les deux mesures est indiqué (28.02.2019). 

Un audiogramme reste valable sans limitation dans le temps, sauf si des interventions (chirurgicales par exemple) ont eu lieu (28.02.2019).

Puisque la nomenclature stipule qu’un remboursement pour le traitement logopédique des troubles du développement du langage ne peut être donné qu’à condition que le bénéficiaire ait un QI total de 86 ou plus, un accord pour le traitement logopédique de ces troubles ne peut jamais commencer avant la date de l’établissement du QI total.

Exemple : pour les troubles d’apprentissage, le container contient 140 séances sur une période de deux ans. Pendant la première année, 75 séances sont prescrites dont seulement 60 sont effectivement utilisées. Combien de séances reste-t-il pour la deuxième année ? 

La nomenclature n’interdit ce transfert que pour les troubles résultant de l’existence de fentes labiales, palatines ou alvéolaires. Dans l’exemple donné, il reste encore 140 – 60 = 80 séances pour la deuxième année. 

 § 6. L’accord éventuel pour la poursuite du traitement par un logopède est subordonné à la fourniture préalable d’une nouvelle prescription médicale, établie par un prescripteur visé 

La chronologie prévue est : prescription d’un bilan d’évolution et exécution de celui-ci avant la fin de l’accord en cours, puis prescription médicale pour un traitement ultérieur et ensuite introduction de la nouvelle demande et sa réception par le médecin-conseil dans les 60 jours suivant le début du traitement ultérieur. 

L’accord pour la poursuite du traitement n’est pas lié à l’approbation pour le remboursement du bilan d’évolution mais bien à l’exécution de ce bilan. La prolongation mentionnée dans la question peut donc être approuvée. 

Informations relevées sur le site de l’INAMI. 

  • Le traitement logopédique dans les cas où le bénéficiaire : 
    • suit un enseignement spécial. Cette exclusion n’est valable que pour les troubles du langage oral, du langage écrit et du calcul ainsi que pour la dysphasie.
    • est traité et/ou hébergé dans une institution reconnue et subsidiée par les communautés/régions et dans laquelle la fonction « logopède » est comprise dans les normes d’agrément  ou est hospitalisé dans un service agréé sous l’un des indices G, T, A, Sp ou K ou séjournée en PSP, en MRPA ou en MRS. 
    • est rééduqué dans un établissement ayant conclu avec l’INAMI une convention couvrant notamment le traitement par un logopède.
  • Le traitement logopédique de troubles secondaires dus aux démences telles que Alzheimer,…

Lorsque vous vous rendez au centre pour un prélèvement, veuillez-vous munir des documents indispensables suivants :

  • La demande d’analyses rédigée par votre médecin,
  • Votre carte d’identité ou passeport
  • Une vignette de mutuelle à votre nom.

Pour un test PCR COVID-19 réalisé dans le cadre d’un voyage ou d’un évènement culturel, une prescription médicale n’est pas requise. Veuillez compléter les documents reçus lors de votre confirmation de rendez-vous et y inscrire votre éventuel code CTPC avant le prélèvement.

Ces documents doivent être fournis lors de votre arrivée au centre de prélèvements. Il est important de vérifier, lors de chaque prélèvement, l’exactitude des données vous concernant.

Kinésithérapie

Au préalable d’une prise en charge kinésithérapeutique, il est nécessaire de consulter son médecin traitant. Si le diagnostic de ce dernier débouche sur la nécessité d’un traitement de kinésithérapie, il vous prescrira le nombre de séances adapté à l’affection. Pour obtenir le remboursement, transmettez-nous votre ou vos attestations de soins ainsi que la prescription du médecin. Source : Mutualité Chrétienne

En règle générale, chaque patient a droit à 18 séances de kinésithérapie par année civile dans le cadre du traitement d’une pathologie courante. 

Les prestations de kinésithérapie périnatale ne peuvent être prises en compte que 9 fois par grossesse (les prestations effectuées durant l’hospitalisation sont non comprises). Source : Mutualité Chrétienne

Dans certaines situations comme des pathologies lourdes, le nombre de séances est plus élevé. Pour plus d’informations, veuillez contacter votre mutuelle. 

 Vous pouvez trouver l’information sur le profil de chacun.

Lorsque vous vous rendez au centre pour un prélèvement, veuillez-vous munir des documents indispensables suivants :

  • La demande d’analyses rédigée par votre médecin,
  • Votre carte d’identité ou passeport
  • Une vignette de mutuelle à votre nom.

Pour un test PCR COVID-19 réalisé dans le cadre d’un voyage ou d’un évènement culturel, une prescription médicale n’est pas requise. Veuillez compléter les documents reçus lors de votre confirmation de rendez-vous et y inscrire votre éventuel code CTPC avant le prélèvement.

Ces documents doivent être fournis lors de votre arrivée au centre de prélèvements. Il est important de vérifier, lors de chaque prélèvement, l’exactitude des données vous concernant.

Neuropsychologie

  • Bilan intellectuel (QI)
  • Bilan attentionnel (suspicion TDA/H) 
  • Bilan des fonctions visuospatiales et praxiques (en collaboration avec les psychomotriciens) 
  • Bilan psychoaffectif 

Avec certains neuropsychologues du centre Mimosa, le bilan est possible en néerlandais mais le rapport est toujours en français. 

Partiellement. Veuillez contacter votre mutuelle pour plus d’informations.

Les tarifs varient entre les différents bilans et les prises en charge. 

Vous pouvez contacter votre thérapeute pour trouver cette information.

Procédure d’intervention pour le remboursement d’un test QI : 

  • Le test de QI a été réalisé obligatoirement pour une demande de remboursement d’un traitement de logopédie B2 ou F en ASSI.
  • Le service intervient à concurrence de 20 € pour le test de QI réalisé, pour autant que ce test n’ait pas été réalisé gratuitement ou déjà remboursé par l’ASSI.
  • Le remboursement n’est accordé que dans le cas où le traitement qui suit est accepté (par l’ASSI ou SOLIMUT).
  • Le test de QI doit avoir été réalisé par un psychologue gradué/bachelier ou licensié/master en psychologie.
  • L’intervention est unique par bénéficiaire. Source : Mutualité Chrétienne

Lorsque vous vous rendez au centre pour un prélèvement, veuillez-vous munir des documents indispensables suivants :

  • La demande d’analyses rédigée par votre médecin,
  • Votre carte d’identité ou passeport
  • Une vignette de mutuelle à votre nom.

Pour un test PCR COVID-19 réalisé dans le cadre d’un voyage ou d’un évènement culturel, une prescription médicale n’est pas requise. Veuillez compléter les documents reçus lors de votre confirmation de rendez-vous et y inscrire votre éventuel code CTPC avant le prélèvement.

Ces documents doivent être fournis lors de votre arrivée au centre de prélèvements. Il est important de vérifier, lors de chaque prélèvement, l’exactitude des données vous concernant.

Ostéopathie

Non, l’ostéopathe est habilité à faire des diagnostics d’exclusion et de référer vers le professionnel de la santé compétent si nécessaire. 

Le remboursement classique s’élève à 10 euros la séance. La DKV propose un remboursement allant jusqu’à 90% du prix de la séance. Veuillez contacter votre mutuelle pour plus d’informations.

Un grand essuie pour des questions d’hygiène.

Non, il existe énormément d’autres techniques en ostéopathie. Nous les appliquons en fonction de la pathologie/condition de santé du patient et de sa volonté. 

Lorsque vous vous rendez au centre pour un prélèvement, veuillez-vous munir des documents indispensables suivants :

  • La demande d’analyses rédigée par votre médecin,
  • Votre carte d’identité ou passeport
  • Une vignette de mutuelle à votre nom.

Pour un test PCR COVID-19 réalisé dans le cadre d’un voyage ou d’un évènement culturel, une prescription médicale n’est pas requise. Veuillez compléter les documents reçus lors de votre confirmation de rendez-vous et y inscrire votre éventuel code CTPC avant le prélèvement.

Ces documents doivent être fournis lors de votre arrivée au centre de prélèvements. Il est important de vérifier, lors de chaque prélèvement, l’exactitude des données vous concernant.